Fonds du couvent des Carmes de Saint-Mihiel.

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Cote/Cotes extrêmes

12 H 3-5 (Cote)

Date

1478-1786

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Archives départementales de la Meuse

Fondation. Expulsion. Rétablissement. Biens et droits du couvent à Saint-Mihiel.

Cote/Cotes extrêmes

12 H 3 (Cote)

Date

1618-1786

Description physique

Liasse. 25 pièces parchemin ; 113 pièces papier ; 18 sceaux.

Présentation du contenu

1-2. Consentement de Charles de Lorraine à l'établissement du couvent, 1er juin 1645 (orig. et copie). = 3. Requête des Carmes déchaussés de la province de Paris au marquis de La Ferté, gouverneur de Lorraine et Barrois, en vue de l'établissement d'un couvent à Saint-Mihiel, 1645. = 4. Lettre du marquis de La Ferté à la ville de Saint-Mihiel en faveur de cet établissement, XVIIe s. = 5-8. Consentement de la municipalité de Saint-Mihiel, 1645. = 9-10. Prise de possession par les religieux d'une maison devant la grande place, 1645. = 11-14. Consentement de François de Lorraine, évêque de Verdun, à l'établissement des Carmes, 1646. = 15. Lettre d'envoi relative audit consentement, 1646. = 16-17. Autorisation de Didier Baulgnon, vicaire général de Verdun, 1646. = 18-19. Requête des religieux au duc de Lorraine en vue de continuer à jouir de leur maison, et pièce annexe, 1663. = 20. Autorisation du duc Charles de Lorraine pour la construction d'un couvent dans ladite maison, 1667. = 21-26. Procédure consécutive et confirmation des lettres patentes précédemment obtenues, 1668. = 27. Procès-verbal relatif à l'alignement de l'église, rue du Clichet, 1669. =. 28-29. Extraits du procès-verbal de la visite faite au couvent par Armand de Mouchy, évêque de Verdun, portant défense de continuer les travaux de construction, 1670. = 30-32. Protestations des Carmes contre ladite visite, 1670. = 33. Protestation identique de la part des Carmélites de Saint-Mihiel, 1670. = 34-38. Ordonnance épiscopale d'interdit, 30 janvier 1670. = 39-40. Nouvelle protestation des religieux, 1670. = 41-43. Arrêt du Conseil d'Etat, portant renvoi de l'affaire devant l'archevêque de Trêves, 1670. = 44-46. Arrêt de la Cour souveraine de Lorraine et Barrois, portant expulsion des Carmes, avec pièce annexe, mai 1670. = 47-49. Annulation dudit arrêt par le duc Charles de Lorraine, 23 juillet 1670. = 50. Requête des religieux à la Cour de Lorraine pour enregistrement de ladite annulation, 1670. = 51-52. Autorisation du duc de Lorraine en vue de la continuation des bâtiments, 1671. = 53-60. Copies de divers actes intéressant la fondation et le rétablissement du couvent, 1645-1670. = 61-65. Mémoires relatifs au conflit contre l'autorité épiscopale, XVIIIe s. = 66-70. Extraits d'ordonnances royales servant de pièces justificatives, 1646-1667. = 71-75 bis, Procédure contre la Congrégation Notre-Dame de Saint-Mihiel au sujet des fenêtres du couvent, 1690-1692. = 76-110 (Ancienne cote B). Accord entre Daniel d'Issoncourt et Mathieu de Metz au sujet d'un mur mitoyen à Saint-Mihiel, 1618. Ventes de maisons audit lieu au profit des religieux : rue du Vieux-Four, par François de Nay, avocat à la cour de Saint-Mihiel, 1653; rue du Clichet, par la Congrégation Notre-Dame de cette ville, 1659, puis par Bou-longne Pernot, veuve de Frémy Wadel, 1673 ; rue de Morguesson, par les chapelains de la chapelle Sainte-Barbe, 1659, puis par Catherine Pérard et consorts, 1719. Requêtes de particuliers en vue de l'aliénation de leurs maisons, 1661-1666. Agrément de Madeleine-Françoise d'Issoncourt à l'aliénation de sa maison, 1668. Procès-verbal de visite d'une maison sise rue du Vieux-Four, appartenant aux religieux, 1668. Requête des Carmes à la prévôté abbatiale de Saint-Mihiel pour prendre possession d'une maison acquise sur Nicolas Louis, 1668. Accord avec Etienne Dauphin pour la jouissance viagère de sa maison, XVIIe s- Vente d'une maison à Saint-Mihiel, rue de Morguesson, par Claude Seignaut et consorts au profit de Jean Fourier, 1673. Rétrocessions de maisons : rue du Vieux Four, de la part de Nicolas Louis, huissier en la cour souveraine de Lorraine, en faveur du couvent, 1667 ; rue de Morguesson, de la part d'Etienne Zabel, en faveur de Louis Malerbe, 1755. Procès contre Marie et Jacquemotte de Metz pour la jouissance de la maison Godet, 1657-1666. Transport de dettes en faveur des Carmes de la part de Daniel Morel, hôtelier à Saint-Mihiel, 1654. Prise de possession par les religieux d'une maison sise rue du Vieux-Four, 1668. Procès contre le procureur du roi au bailliage de Saint-Mihiel au sujet de la réparation d'une maison près de la halle, 1684. Autorisations d'alignement pour diverses maisons près du couvent, 1689. Adjudication de masures domaniales au profit des Carmes, 1693. Cession d'une maison, sise rue des Ecoles-des-Filles, de la part des religieux, au profit de Claudine Gérard et Charlotte Lequeux, 1717. Requête du couvent au prévôt de Saint-Mihiel pour la publication de bâtiments sis rue de Morguesson, 1719. = 111-118 (C). Procès-verbal de visite d'une maison rue du Vieux-Four, appartenant aux Carmes, 1668. Opposition aux travaux faits par les religieux sur la muraille mitoyenne de la maison domaniale, 1679. Accords de mitoyenneté : avec le sieur Boudet, 1720 ; avec Pierre Thomas, 1698 ; avec la Congrégation Notre-Dame de Saint-Mihiel, 1698. Nomination d'experts pour la visite d'un mur rue de Morguesson et visite consécutive, 1715. Cession d'un mur de jardin de la part des religieux au profit de Jean-Baptiste Dardare, marchand à Saint-Mihiel, 1770. = 119-137 (G). Transports de rentes : de la part de Jean Jamin en faveur des héritiers de Mageron, 1655 ; de la part de la Congrégation Notre-Dame de Saint-Mihiel en faveur de Jeanne Le Mordant, 1664. Obligations en faveur des Carmes de la part du sieur Bonnet, 1725 ; de François Pierron, charpentier à Broussey-en-Woëvre, 1750 ; de Marguerite Rouyer et consorts, 1753 ; des Carmes déchaussés de Langres, 1762 ; du sieur Tolin, curé de Saint-Pierre-des-Bods (Sarthe), 1786 ; de François Pelletier, maçon à Broussey-en-Woëvre, 1786. Rentes constituées au profit du couvent : par François Pierron, 1721 ; par Charles-Ignace Bonnet, lieutenant-particulier au bailliage de Saint-Mihiel, 1729 ; par Marie-Reine Fremy, 1745 ; par Jean-François Aubriot, laboureur à Koeur-la-Grande, avec obligation consécutive de la part de Nicolas Marchai, 1739-1778 ; par Lucie-Catherine de Bras, veuve de Nicolas de la Hausse, de Nancy, 1780. Requête des religieux au prévôt de Saint-Mihiel pour paiement d'une somme due par les héritiers de Jean Picard, laboureur à Koeur-la-Grande, 1744. Fondation de messes en l'église du couvent par Claude Masson, conseiller de l'Hôtel-de-Ville de Saint-Mihiel, portant constitution de rente, 1745. Vente d'une grange à Saint-Mihiel, rue de Morguesson, par Claude Vigneron et consorts au profit de Gérard de Nay, portant obligation en faveur des Carmes, 1758. Rente constituée par les religieux au profit de l'hôpital de la Charité de Nancy, 1767. Requête des Carmes au bailliage de Saint-Mihiel pour continuation de la rente due par les héritiers Pierron, 1778.

Mots clés lieux