1 Q - Domaines nationaux (Révolution française).
La sous-série 1 Q conserve les archives relatives aux biens nationaux séquestrés à la Révolution, provenant des administrations du département, des districts et de la Préfecture.
La sous-série 1 Q conserve les archives relatives aux biens nationaux séquestrés à la Révolution, provenant des administrations du département, des districts et de la Préfecture.
La série G conserve les archives provenant des établissements religieux séculiers séquestrées à la Révolution (évêché et chapitre cathédral de Verdun, officialité foraine du diocèse de Toul à Bar-le-Duc, collégiales d'Apremont, Bar-le-Duc (Saint-Maxe et Saint-Pierre), Brixey-aux-Chanoines, Commercy, Hattonchâtel, Ligny-en-Barrois, Montfaucon, Saint-Mihiel, Vaucouleurs, Verdun), des paroisses et leurs fabriques ainsi que des chapelles. On y trouve des documents relatifs à la gestion du temporel de ces établissements (titres de propriété, actes de vente ou d'achat, procédures judiciaires), à leur comptabilité, à leur fonctionnement interne. Cette série est assez pauvre en Meuse, en raison vraisemblablement des destructions révolutionnaires et des pillages postérieurs.
La série F est destinée à recevoir les fonds divers se rapportant à la période antérieure à 1790, se rattachant aux séries civiles du cadre de classement des archives départementales établi en 1841 et ne rentrant pas dans ces séries. Il s'agit d'archives privées, reçues en don ou en dépôt ou achetées par les Archives départementales. Cette sous-série est close en 1944, date à laquelle une circulaire crée la série J, désormais consacrée aux archives d'origine privée.
Le fonds de l'évêché de Verdun est assez pauvre, en raisons probablement des destructions de l'époque révolutionnaire et des pillages postérieurs. On y trouvera notamment un dossier sur les dispenses de mariage, des documents sur le séminaire de Verdun et la gestion du temporel de l'évêché.
Les sous-série 4 E à 8 E des Archives départementales de la Meuse conservent les documents antérieurs à la Révolution et séquestrés au moment de celle-ci, provenant des seigneuries, des familles, des communes et municipalités (archives produites par les anciennes administrations territoriales et non par les communes elles-mêmes), des corporations d'arts et métiers et des confréries et sociétés laïques.